Accéder au contenu principal

Articles

Affichage des articles du novembre, 2017
La quête : Au fond on se ressemble tous, on cherche tous la même chose ou presque ! "L'AMOUR" , un bien grand mot pour ceux qui savent aimer, qui savent le chérir et le garder au chaud et entreprendre sa flamme, pour ceux qui ont un coeur, une âme, ceux qui ont fait de l'amour une quête, une quête de sentiments doux et pur, une quête de partage et de bonheur, la quête de la vie.... !! Car l'amour c'est la vie !! Mais dans notre époque l'amour à pris des rides et il est devenu démodé, ringard... Et de par l'égoïsme, la vanité, la cupidité et le narcissisme il agonise et et les êtres qui le chérissent avec ! On a beau chercher cet amour cet idéal , on la prier même ! On l'a trouver parfois ! On le sent au plus profond de nous, on le vit avec ces beaux sentiments, sa douceur.... , il est là ! Le bonheur ! Soudain !! On prend peur, la peur de se lancer dans la vie à deux, la peur de ne pas être à la hauteur de l'autre, la peur de décevoir.
alors que j’ai cru pouvoir briser la profondeur de l’immensité par mon chagrin tout nu sans contact sans écho je me suis étendu dans ma prison aux portes vierges comme un mort raisonnable qui a su mourir un mort non couronné sinon de son néant je me suis étendu sur les vagues absurdes du poison absorbé par amour de la cendre la solitude m’a semblé plus vive que le sang je voulais désunir la vie je voulais partager la mort avec la mort rendre mon cœur au vide et le vide à la vie tout effacer qu’il n’y ait rien ni vire ni buée ni rien devant ni rien derrière rien entier j’avais éliminé le glaçon des mains jointes j’avais éliminé l’hivernale ossature du vœux de vivre qui s’annule tu es venue le feu s’est alors ranimé l’ombre a cédé le froid d’en bas s’est étoilé et la terre s’est recouverte de ta chair claire et je me suis senti léger tu es venue la solitude était vaincue j’avais un guide sur la terre je savais me diriger je me savais démesuré j’avançais je gagnai
mon rêve a moi: sur ces terrasses où, le soir, il flotte encore sur la terre assombrie un dernier voile d'or, nous regardons, tous deux, longuement, en silence, le monde qui s'efface et l'azur qui s'endort elle se tient près de moi, ses grandes ailes blanches sont closes!! elle songe , et nul ne sait à quoi songent les anges mais elle est si divine, si calme est son sourire, que, près d'elle, toute parole humaine expire sur les lèvres, sans doute!! elle comprend son âme qui flotte sur les choses d'ici bas, ainsi qu'une clarté d'étoiles étrangères. elle contemple, et rêve, et ne sait de la terre que les soupirs d'amour et les pleurs du bonheur. ça!!! c'est toi Sofiane h
Faux amis : lorsque de faux amis viendront à toi, soupire de sincère pitié pour eux, et, plein de fois, plus haut qu'eux!! tu es, bien-aimé, viens chercher le sourire, laisse-les tous, regarde-moi viens, ne crains plus les maux et le poids de la vie, ceux qu'affranchit le mal peuvent braver le sort sans compter les périls, vole au but, cœur fidèle, qu'importent les écueils, les autans, les frimas ? crois que la vie est juste et marche au devant d'elle, front haut, entouré de mes bras... et, la main dans la main, dominant tout prestige, nous vivrons, nous mourrons, triomphants par l'amour, non plus toi, non plus moi, mots que l'amour corrige, mais Nous, sans fin et sans retour ! j'ai tout appris de toi sur les choses humaines et j'ai vu désormais le monde à ta façon j'ai tout appris de toi comme on boit aux fontaines comme on lit dans (la lune) et les étoiles lointaines comme au passant qui chante on reprend sa chanson j'
Le silence : J'entends son silence, malgré la distance J'aime sentir sa présence, je ne peux vivre son absence Sans elle je ne suis qu'une virgule, un point de passage comme un nuage Il ne s'arrête jamais toujours en voyage Elle est mon allé sans retour, et je le dit sans détour Et j'espère que la vie ne me jouera guère un mauvais tour. Sofiane. H
Sentiment : Oh!!! Je sens mon cœur battre entre tes mains . Je sens ton regard croiser le mien . Je sens tes lèvres frôler ma bouche. Je sens que tu recules comme si tu avais peur qu'on te touche . J'entends ta voix comme un écho. J'entends le vent te souffler les mots. Je te vois partir et me tourner le dos . Tandis que je suis accro . Tu est mon overdose, Reste près de moi si tu l'oses. Ta voix résonne comme un écho; Et je sens ton âme contre ma peau. Comme si nous ne faisions plus qu'un . Comme mêlés et entre mêlés. Sur mon chemin je t'ai trouver . Et je te supplie de rester. Mais je sais qu'au fond tu ne resteras jamais !!!! Sofiane h