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Meilleurs voeux.

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Que reste t-il...

Que reste t-il de nos vies? Quand celle que j’ai aimé est partie... Celle qui hier, on se disaient encore qu'on se quitteraient jamais... Celle avec qui la vie semblait plus belle... Toi qui m'a oublié aujourd'hui , toi qui m'avais promis, qu'on s'aimerait pour la vie... Et pourtant je suis désormais si loin que plus rien ne pourra jamais nous rapprocher.. Chacun espère de son côté, mais personne n'essaie de continuer... Continuer à faire des effort, malgré la distance, malgré la souffrance... Chaque jour, la distance semble plus dure à atténuer... Pourtant, les larmes sont bien réelles... Mais on n’oublie pas, on accumule... Nos rencontres restent au fond de nos coeurs... A jamais de bons souvenirs recouverts de poussière... Un peu comme des peluches de notre enfance que l'on ne veut pas jeter.. Alors... Elles restent dans le grenier, ou sur une étagère... Vieillissants... Mais pas dans nos coeurs... Même si nous savons que rien ne sera plus jamais com

Amour inconditionnel

Moi qui avais cru résisté après son départ précipité Résisté à ne plus voir son visage, sa beauté À admirer sa class, son charme et sa féminité Ne plus sentir sa sérénité sa bontée et sa générosité Elle qui m’avait tendu la main quand j’avais besoin Alors que tout le monde m’avaient tourné le dos de près et de loin Elle qui m'a montré le chemin de la paix et de la lumière Elle qui m’a donner de son temps, et de sa personne hospitalière J’aurais aimé vivre à ces pieds et mourir dans ces bras Être son chevalier, son esclave même ! Oui ! Je ne suis pas ingrat Oui je l’aime ! Et je lui voue une administration sans pareille Une adoration sans faille Elle est mon étoile, ma lune et mon soleil. Son absence me fait si mal ! Mais mon amour pour elle est inconditionnel. Sofiane h 
Tu me frôles encore, plus que tu ne sauras. Mes paupières nous rapprochent plus sûrement Que nos volontés, chandeliers vacillants A la surface d'un monde qui ne veut toujours pas De cet inexplicable et immense contour, Etincelant, de tous nos mots et projets En ces temps où triomphe le rejet Sous des mains qui oublient même le velours. Je te frôle à mon tour, et bien sûr tu me sens Tu m'en diras demain que doux était, commun Ce rêve qui n'en sera jamais un Je laisse dériver, puisque ainsi seulement Toute la grandeur et le vertige aussi De ce courant, contraire à nos vies même Tant elles étaient séparées, de ce courant qui nous freine Dans nos dérives nos oublis et nos cris Pour en faire naître d'autres naturellement, (Comme l'univers ne supporte pas le vide Pas plus que nous les instants insipides ) Pour nous les faire aimer intensément Paupières fermées toujours. Je n'ai pas encore vu La vérité l'unique, toi qui m'importe en tou